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  • Photo du rédacteurMarie-Eve Avon

Home is where family is

Ah, le rythme effréné de la vie qui nous entraîne d'un bout du monde à l'autre en un battement de cœur ! C'est comme si nos valises étaient toujours prêtes à être remplies de nouvelles aventures, n'est-ce pas ? J’ai clairement une addiction pour cette sensation d’insécurité envers la nouveauté. Mais au-delà des départs spontanés et des voyages épiques, il y a cette constance, cette ancre qui nous fait nous sentir à la maison peu importe où nous sommes.


Après notre escapade de 2 semaines au Maroc, le tourbillon de la vie nous a rapidement emmenés vers de nouveaux horizons. À peine le temps de ranger les souvenirs dans nos esprits (10 dodos dans notre lit entre le retour et notre prochain départ) que nous voilà à nouveau plongés dans le tourbillon des préparatifs : lavage, réservation et option possible pour l’école à distance. Pas question de laisser Ariel en arrière. Cette fois-ci, c'était pour notre périple en Amérique du Sud. Bogotá, une ville imprégnée de culture et de contrastes, est devenue notre port d'attache pour le prochain mois, alors que Yanick se plongeait dans son nouveau défi professionnel avec son équipe de la Colombie.


C'est dans ces moments de transition que l'importance de la famille prend tout son sens. Alors que nous nous adaptons à de nouveaux paysages, nous sommes émerveillés par la découverte d'une nouvelle langue, un bonheur qui se manifeste à mesure que nous approfondissons nos connaissances linguistiques en espagnol, et c'est le soutien et l'amour inconditionnel de ceux qui nous entourent qui nous permettent de nous sentir chez nous, peu importe où nous nous trouvons sur la carte. On réapprend une nouvelle routine.


Et bien que nos aventures nous emmènent loin de nos racines, chaque kilomètre parcouru nous ramène toujours à cette vérité universelle : que la vraie richesse réside dans les liens que nous tissons avec ceux qui partagent notre voyage, que ce soit à travers les continents ou à travers la vie elle-même. Car après tout, peu importe où nous allons, tant que nous sommes ensemble, nous sommes chez nous.



L’incompréhension


Il y a cette incompréhension persistante dans le regard des autres, comme si nos valises étaient toujours prêtes à être déposées à la porte d'entrée dès que le voyage prend fin. Mais pour Yanick, Ariel et moi, rentrer à la maison n'est pas toujours synonyme de soulagement. Bien sûr, il y a les câlins de nos chats qui nous manquent, mais ce n'est pas le lit douillet ou la routine familière qui nous tirent vers la maison. Nous ressentons une différence palpable par rapport à ce que beaucoup considèrent comme une vie "normale". Loin des réconforts du quotidien, nous nous sentons parfois comme des étrangers dans notre propre environnement, malgré l'attachement que nous éprouvons pour nos parents et amis. C'est cette dualité qui définit notre réalité : l'amour pour nos proches et le désir constant de nouvelles découvertes, un équilibre délicat entre nostalgie et soif d'aventure.

 

Sur cette réflexion, je dois vous laisser. J’ai des bagages à préparer pour mon premier Éducotour avec Sunwing comme agent de voyage. Je vais aller explorer cette fois si le Panama avec 13 autres collègues de chez Vasco (tous des inconnus). Je pars à la découverte de mon 20e pays pour explorer les différentes possibilités d’hôtels de la destination.


Love u gang a + 

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